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mardi 11 décembre 2012

Mots & cie

Je rejoins Mehdi à la librairie 
35 rue Armagnac à Carcassonne 
à partir du samedi 15 et jusqu'à Noël !

Bienvenue à vous !


les mots de la vigne au lycée Charlemagne


 
Une expo photo et une lecture de textes sur la vigne, au menu des élèves de Charlemagne./ Photo DDM. ()
Une expo photo et une lecture de textes sur la vigne,
au menu des élèves de Charlemagne./ Photo DDM.



Le CDI du Lycée Charlemagne à Carcassonne présente une exposition des photos de Philippe Serrière, un enseignant de l'établissement, passionné de vignes... et de photo. C'est au cours de ses randonnées qu'il a collecté de superbes images de paysages de vignes, des Corbières jusqu'au Portugal et aux Canaries ou même dans des endroits plus inattendus comme l'île de La Réunion. Pour accompagner ce remarquable travail photographique, Valérie Schlée a animé cette exposition par la lecture d'extraits de littérature régionale contemporaine ou de textes plus anciens. L'exposition est par ailleurs agrémentée de matériel viticole ancien.
La Dépêche du Midi 11/12/2012

dimanche 18 novembre 2012

“Pour s’éprendre d’une femme, il faut qu’il y ait en elle un désert, une absence, quelque chose qui appelle la tourmente, la jouissance, une zone de vie non entamée dans sa vie, une terre non brûlée, ignorée d’elle-même comme de vous.”

 Bienvenue 
à la médiathèque de Rouffiac d'Aude
le mercredi 21 novembre
à 16h30 

lectures choisies par valérie schlée



Andrée Chedid,
Olivier Cadiot
et Michel Berder,
Maguy Vautier,
Marguerite Duras,
Didier Goupil,
Danielle Jaeggi,
Nathalie Démoulin

entrée libre

vendredi 9 novembre 2012

chez Mots & cie le 17 novembre





La Grande Bleue, de Nathalie Démoulin, raconte le destin d’une jeune ouvrière à travers les années 1970.
Un bon signe : Nathalie Démoulin a placé son roman sous les auspices d’Annie Ernaux. Avec cet exergue : « N’avoir que l’existence et elle ne suffit pas. » De l’auteure des Années, Nathalie Démoulin a retenu l’attention apportée à une femme et à sa position au sein d’une classe sociale, en l’occurrence les ouvriers. Son personnage, originaire d’un village à côté de Besançon, s’appelle Marie. Elle la suit pendant onze ans, à partir de 1967, quand la jeune fille n’a que 17 ans.
La Grande Bleue est aussi un retour vers ce qui a fondé Nathalie Démoulin, ses origines sociales et familiales. Née à Besançon en 1968, elle dédie le livre à ses parents, « qui eux aussi, avec la force et la beauté de leur jeunesse, ont vécu ces années soixante-dix ». Dans la fiction, Marie n’a pas cette « force », cette « beauté ». Plus exactement, elle en a la promesse lorsqu’à 17 ans, avec sa copine Delphine, elle se rend à Besançon pour la première fois en toute liberté, sur une mobylette. Ces filles du village, qui continuent à aller à l’école et qui, comme elles le souhaitent, ne ressembleront pas à leurs mères, tournent le dos à leur milieu rural et conçoivent le rêve d’« une autre vie ». Pour Marie, ce rêve est un piège.
Dès l’année suivante, 1968, Marie a un mari, Michel, et un enfant. Elle « est enfermée dans ce temps qu’elle appelle “amour” puisqu’il faut donner un nom à ce qu’on vit et que ce mot-là peut tout masquer, oui elle dira “par amour” quand il faudra raconter les renoncements et l’ennui, “par amour pour Michel” qui n’est plus jamais là, happé tout à la fois par l’usine et par cette chose irrésistible qu’est sa vie ». La « force » et la « beauté » de Marie ne trouvent pas à s’épanouir. Bientôt, elle aura un ­deuxième enfant, elle ira travailler à l’usine (en 1972), et commencera à s’interroger sur son existence.
Pour autant, la Grande Bleue reste étranger au misérabilisme. Nathalie Démoulin cherche à toucher juste. En développant une dimension sociologique (Annie Ernaux, toujours). Grâce aussi à la langue déployée. Celle-ci a un souffle incontestable, sans être lyrique. Jouant volontiers avec le pronom impersonnel « on », l’auteure donne du mouvement aux tableaux collectifs (par exemple, dans la saisissante séquence d’affrontements entre ouvriers et CRS à l’usine Peugeot de Vesoul) ; tandis qu’elle en use aussi pour suggérer les manières communes au monde ouvrier, ou bien le retrait de la ­subjectivité, ­surtout de la part des femmes, devant le (conformisme du) groupe. Ainsi Marie voit-elle Nordine, qui l’attire confusément, un travailleur algérien, lors d’une sortie dominicale : « un homme en espadrilles et pantalon noir, appuyé à un saule […], et sa bouche, on la connaît, elle est brune, et sa peau on ne l’a pas touchée, elle est acajou, et ses yeux on ne sait pas ce qu’ils sont, parfois sable aurifère, parfois paillettes d’ébène, parfois absents telle une paroi de verre ».
La Grande Bleue donne à voir de beaux portraits de femmes qui n’ont rien d’exceptionnel mais sont toutes singulières. Il y a l’excentrique Simone et sa névrose de ne pas avoir d’enfant ; Nicole, dont certaines collègues disent qu’elle sort avec un « bicot » ; Delphine, l’amie d’enfance, la « tête brûlée », l’indépendante qui s’est défiée de la vie de famille.
Surtout, il y a Marie, celle qu’à l’usine on désignera toujours comme « la bleue », « l’éternelle nouvelle, l’éternelle paumée », et qui a comme tout le monde des envies de plage au mois d’août (beau chapitre de trajet embouteillé, la nuit, vers la Méditerranée dans la voiture chargée pour les vacances). Marie est rattrapée par ses désirs de femme et ses espoirs d’adulte jeune encore, quand tout semble pourtant déjà joué, déjà fixé. Alors elle dit enfin « je veux », et Michel ne comprend pourquoi elle divorce pour « exister ». Ce que la narratrice interprète ainsi : « pour se donner une chance d’être la femme que l’on voit naître autour de soi, en ces années 1970 ». Marie, dès lors, cherche une autre voie, sans aucune assurance, pendant que sa fille aînée commence à penser qu’elle ne voudra pas, elle non plus, ressembler à sa mère. Marie, femme fragile, mais courageuse, que Nathalie Démoulin hausse au rang d’héroïne du quotidien.
Christophe Kantcheff

dimanche 28 octobre 2012

y être, absolument !

 Rencontre avec Alexandre Bergamini

 librairie Mots et cie 

à Carcassonne 

le 3 novembre à 10h30

 Lecture avec valérie schlée

 

"Sang damné" aux éditions du Seuil est en librairie

Convoquant les fièvres et la mémoire collective, j’ai voulu confronter l’intime au clinique, mon histoire singulière avec l’Histoire, au travers des camps nazis, d’une radiographie des trente premières années de l’épidémie du SIDA, des procès du sang contaminé, de ceux que j’ai rencontrés, aimés, délaissés et qui ont péri lors de l’hécatombe, ou qui y survivent comme moi, comme nous tous.
J’ai tenté d’user de toutes les armes contre l’ennemi invisible et la bêtise, et je me suis risqué à les combattre, défendu par une langue exsangue et mise à nue. Sang damné est devenu l’aboutissement d’un cycle infernal, sa fin.
 

 

Cargo mélancolie


Cargo mélancolie est un journal de bord poétique en deux voyages :
Hanté par la mort de son frère, le narrateur embarque sur un vieux cargo russe pour une traversée de la Mer Baltique aux Tropiques en passant par le Canal de Suez et la Mer Rouge :
« un billet-aller
pas de retour
retrouver l’ailleurs
un paysage que je porte… »

Un voyage chaotique d’un homme à la dérive où ses tourments intérieurs liés aux variations brutales de lumière et de température dans un paysage en perpétuelle mouvance imprègnent ses écrits d’une poésie sauvage d’une grande beauté.
Dans les flots parfois déchaînés, seule l’errance des oiseaux de toute espèce, des pélicans du Yemen aux fous de Bassan de l’Océan Indien, est familière.
Les êtres rencontrés lors des brèves escales dans des terres souvent en guerre souffrent de la pauvreté mais emprunts d’une grande humanité alors que le narrateur se sent « misérable ».

Le deuxième voyage au Cap Nord est celui de l’éblouissement dans les couleurs et l’acceptation de la perte « Aucun lien n’est rompu ».
La force de ce court roman tient dans la poésie rageuse des mots et dans le vocabulaire emprunté au langage du corps pour une traversée maritime intérieure.
 
In La fabrique à rêves


mercredi 24 octobre 2012

Au lycée Jacques Ruffié à Limoux

 

D'un livre à l'Aude

Lire pour le plaisir, lire pour choisir, lire pour rire ou sourire, lire pour pâlir, lire pour dire son avis, lire pour le loisir, lire pour fuir bref D'un livre à l'Aude vous propose de lire 4 romans choisis par des "pros" du lire... Et puis Voter pour votre livre préféré.

 

Attentat verbal

Le 22/10/2012

Valérie Schlée entre par surprise dans les classes et propose un extrait des romans du concours à haute voix. Impromptues, ces lectures laissent parfois songeurs et affamés. Dirigez-vous vers le CDI où les livres vous attendent. Lisez-les, donnez votre avis et votez.
 Le lycée : http://0110019l.esidoc.fr/rubrique/view/id/20



Le CDDP : http://www.tice-crdp-montpellier.fr/aude_rcp/dunlivrealaude
 



Le prix d’un livre à l’Aude est soutenu par le Conseil général de l’Aude. Il est organisé par la Bibliothèque départementale de prêts et le Centre départemental de documentation pédagogique de l’Aude avec la collaboration des bibliothèques du réseau départemental, des documentalistes des lycées et collèges, et des libraires.
 
Objectif : promouvoir la lecture auprès des adolescents.
Jury : le jury est composé par les adolescents du département de l’Aude âgés de 14 à 18 ans.
Conditions de participation : une inscription est indispensable. Elle doit être retournée au CDDP de l’Aude avant le 30 septembre 2012. Cette inscription peut être individuelle ou collective.
Le vote : le vote s’effectue le même jour (à préciser ultérieurement) dans tous les établissements scolaires et / ou dans les médiathèques du réseau. L’organisation de celui-ci est laissée à l’appréciation des documentalistes et des bibliothécaires. Les adolescents doivent classer les quatre romans dans leur ordre de préférence. Le vote s’effectue en ligne sur le site du prix.
Prix : La proclamation du résultat aura lieu  au mois de mai, selon des modalités et un calendrier adressé aux établissements dans le courant de l’année.
Prix de critiques : les jeunes qui le souhaitent peuvent rédiger des critiques de ces quatre romans ou des textes d’inspiration libre à partir des quatre lectures. Un jury d’adultes et d’adolescents se réunira avant la journée de proclamation des résultats pour décerner un prix aux meilleurs textes.
Durée de la manifestation : du 1er octobre 2012 jusqu’au mois de mai 2013.

La sélection 2013
Comment (bien) gérer ma love story d'Anne Percin, Rouergue, 2011
Peur express de Jo Witeck, Actes Sud junior, 2012
Je m'appelle Mina de David Almond, Gallimard jeunesse, 2012
Eux sur la photo, Helen Gestren, Aléa, 2011, 273 p.

Contacts
Bibliothèque départementale de prêt : Malika Tamdjrit malika.tamdjrit@cg11.fr
CDDP : Marie-Laure de Capella marie-laure.decapella@crdp-montpellier.fr

samedi 20 octobre 2012

lectures gourmandes

Le mercredi 24 octobre
à 16h30
Médiathèque de Rouffiac d'Aude

Lectures choisies par valérie schlée

Quand les mots mettent l’eau à la bouche, quand la gourmandise se savoure dans les livres, une lecture gourmande s’installe pour mettre en résonance les nourritures terrestres et livresques.


Entrée libre : bienvenue !

samedi 6 octobre 2012

Lectures par valérie schlée

de La relique de Jean-Louis Marteil

le roman en deux rendez-vous :

le 12 octobre à 20h à la bibliothèque de Verdun-Lauragais
le 19 octobre à 20h à la bibliothèque d'Issel


Lecture-dédicace
Jean-Louis Marteil
Le 27 octobre à 14h30 à la médiathèque de Labécède-Lauragais


La relique

A l'aube du XIIe siècle, trois moines sont envoyés à la recherche d'une relique qui pourrait épargner la ruine à leur abbaye. Et si le but de leur voyage est fort loin, les ennuis, eux, vont commencer très vite. Un prieur inflexible et caractériel, une nuit de beuverie épique, un herboriste furieux et maître ès hypocrisie, des ossements baladeurs et capricieux, des soudards impossibles, des bandits pitoyables, un chien de garde à l'humeur dévoreuse, une beauté tentatrice et, quelques états d'âmes plus loin, les trois moines auront vécu une folle et redoutable pérégrination, poursuivis par les mystères de la foi. Nécessité faisant loi, les hommes d'Eglise ne renoncent donc à rien (pas même à Dieu) pour bénéficier des bienfaits de saints au comportement et au caractère souvent imprévisibles... 
Dans la veine des meilleurs romans picaresques, parcourue d'un vent de folie légère, sous-tendue par un discours profondément humaniste, cette histoire est une déambulation initiatique et cocasse dans l'imaginaire du Moyen Age. Il y a, au fil de ces pages, une vraie jubilation à suivre la route cahotique de personnages attachants... et tellement humains ! 
(Babélio)



La dépêche du midi
Publié le 21/10/2012
Verdun-en-Lauragais.
Lectures de Valérie Schlée


L'assistance captivée devant Mme Schlée.
Nombreuse assistance vendredi 12 octobre pour les lectures de Valérie Schlée à la bibliothèque de Verdun. Soirée sympathique, en remerciant Florence de Labécède et Zélie de Verdun pour ce moment enrichissant

 

jeudi 27 septembre 2012

De belles lectures sur la lecture

Lectures avec valérie schlée
Le 5 octobre à 19h
Médiathèque de Bram


  
Avec l'exposition : Images d'une belle amitié
"Lectures" est un choix de photographies effectué par eExpos,
d'après le travail du photographe J.P. Olive 
édité aux Editions Equinoxe en 2006

Du 2 au 27 octobre
inauguration le 5 avec valérie schlée

gratuit - réservation conseillée : lecture@piege-lauragais.fr    04 68 76 50 07



L’indépendant 11.10.2012
De belles lectures orales et visuelles à la Médiathèque

Vendredi dernier, à la Médiathèque de Bram , Valérie Schlée a donné des instants de lectures d'auteurs variés dont les noms ont été communiqués à l'auditoire en fin de séance.


Dans la salle de lecture se trouve l'exposition "Images d'une belle amitié" un choix de photographies réalisées par le photographe J.P. Olive.


Lectures de Valérie et exposition , une alliance ciblée très riche


 
 Valérie Schlée a charmé l'auditoire.
L' exposition est visible jusqu'au 27 octobre.

 

jeudi 20 septembre 2012

des nouvelles !


Bienvenue à la médiathèque de Rouffiac d'Aude
le mercredi 26 septembre
à 16h30
pour les lectures choisies de valérie schlée
autour de l'exposition "la boîte à nouvelles"

vendredi 24 août 2012

EUX SUR LA PHOTO

Samedi 1er septembre

à la librairie Mots & cie
35 rue Armagnac à Carcassonne

10h30
Rencontre avec l'auteur Hélène Gestern

Lecture par valérie schlée


Editions arléa
Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices : deux noms, et une photographie retrouvée dans des papiers de famille qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père.
Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu’ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie.
Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur le secret de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d’éléments inconnus, la résolution d’énigmes posées par le passé ne suffisent pas : ce qui compte, c’est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu’ils modifient, ou pas, ce que nous sommes.

lundi 6 août 2012

MOTS & CIE


Dès demain et jusqu'au 18 août,  
je prends les rênes de la librairie 
35 rue Armagnac à Carcassonne : 
Mehdi, notre libraire préféré, savoure ses vacances ! 
...avant la rentrée qui promet !



mardi 24 juillet 2012

lecture sous parapluie littéraire

Ainsi, "l'art dans le ruisseau" ce weekend,

avec les artistes et en déambulation :

Muriel Verstichel "sur la paroi du monde" in Bleecker street" Hôtel Beury
Suzanne Doppelt "Lazy Suzie" POL
Robert Desnos "chez les faussaires - recettes pour rendre authentiques les faux tableaux" in Ecrits sur les peintres" Champs arts
Valérie Schlée "on ira tous dans le ruisseau"
Christian Galce "l'art dans le ruisseau"
Véronique Vialade Marin "lever l'ancre"
in "L'art dans le ruisseau"



Evelyne Iehle "territoires"
Jorge Guillén "Au-delà" in Chilida / Maeght Editeur
Catherine Topall in catalogue Iehle-Loew "de l'éclat à la lettre" Espace Vallès 1996

Et un rendez-vous entre 17h et 17h30 place "Blume" autour du roman de Tonino Benacquista "Trois carrés rouges sur fond noir"


vendredi 20 juillet 2012

une sieste littéraire

A la médiathèque de Rouffiac d'Aude,
le mercredi 25 juillet à 16h30
Lectures choisies par valérie schlée

"Espèces d'espaces" Pérec
"Un homme qui dort" Pérec
"Les notes de l'oreiller" Sei Shonagon
"L'enchantement simple" Bobin
"Les nourritures terrestres" Gide
"Le garçon qui ne voulait pas dormir" Appelfeld

jeudi 12 juillet 2012

rendez-vous dans le ruisseau

16ème exposition d'art contemporain

L'art dans le ruisseau

Conilhac-Corbières

samedi 21 juillet de 15h à 21h, vernissage à 18h30
dimanche 22 juillet de 10h à 20h

Lectures sous parapluie littéraire par valérie schlée



les artistes : ALIX, BIGOT, BIGOU, BLUME, CHAMPIEUX, FERNANDEZ, FOURNIER, FROSSARD, GOELLNER, GRAFF, ISGRO, JANIN, MAZET, MAJOR, MEYER- HIMHOFF, MOSCOVINO, RENNIE, ROMIEU, SABATIER, TROUIS, VIECO, WINTER, WOLFRAM