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samedi 7 novembre 2020

Tant bien que mal, cette phrase d'Arnaud Dudek qui m'accompagne 

L'artiste-graveur Elbio Mazet dans son éloge au poète Walt Whitman 

La coque de noix chinoise sculptée d'innombrables visages, 

offerte par l'écrivain et ami Marcel Moreau 

La littérature des fleurs 

Sur le chemin du jour 

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mardi 28 avril 2020

coup de foudre pour l'écrivain-jardinier Gerbrand Bakker





"Parce que les fleurs sont blanches" : un homme et ses trois fils pour un roman court tout en simplicité, une sérénité mélancolique, une grande pudeur pour dire le drame. Lumineux !
 




"Là-haut, tout est calme" : un livre de lenteur, de campagne, de questions essentielles ; l'histoire d'un homme seul ; une écriture sans artifice, fascinante !
"Le détour" : une nature omniprésente et tout une atmosphère sensuelle pour le vécu d'une femme d'une lucidité infinie. Emily Dickinson en toile de fond.


samedi 4 avril 2020

Par la fenêtre le ciel tire au violine, les arbres saignent
sur la clameur de nos chairs défiant le soupir des mots.
la langue chavire, vous suivez la stase de nos pulsations en vous éloignant. déjà, le sang de mes terres profondes se rassemble, fervent. je vous écrirai encore, sur les murs,
appellerai nos épanchements, par toutes les fenêtres ouvertes,
en un cri saigné à vif, irradiant, peuplé de mots assoiffés.
 

A Marcel Moreau qui s'est éteint aujourd'hui.
Continuons de le lire, infiniment.

jeudi 2 avril 2020

merci Rodolphe Urbs !

"Du libraire confiné au lecteur con fini"
Ça c'est un libraire !! (Rares sont ceux qui poussent à l'inverse, mais on en connaît !)
par Rodolphe Urbs, librairie La mauvaise réputation :
"Je préfère vous dire que, lieu de nécessité ou pas, nous ne rouvrirons pas la librairie pour l’instant. On ne va pas risquer de choper un truc sous le prétexte idiot que nous serions relégués à un niveau de denrée indispensable pour des lecteurs qui paradoxalement préfèreraient mettre en danger leur entourage et les autres au nom de la littérature et de la liberté.

Nous ne sommes pas n’importe qui ! Nous sommes un peuple qui a des lettres ! Laissez-moi flâner chez un libraire ! C’est essentiel !

Je te le dis gentiment, ami lecteur, va mourir !

Pour peu que Bruno Le Maire décide que nous soyons indispensables, je vous préviens que Jardiland devra ouvrir pour ma mère, le bistrot du coin pour le voisin et la pizzeria locale pour un pote dont c’est la nourriture primordiale. Chacun ses priorités.

Argument de poids (plume) : « Amazon va tout rafler ». On s’en branle. On n’est pas là pour jouer la concurrence. Apprends, si tu l’ignores, que la loi du prix unique (loi Lang 81) sauve les librairies. Ça, il faudra continuer à le défendre. Ça, Amazon rêve de le faire tomber. Cette loi que l’on pourrait comparer au prix des clopes oblige tous les libraires (Amazon inclus) à te vendre un livre au même prix partout. Point.

On peut facilement imaginer que c’est l’absence d’une loi identique pour les disquaires qui a ruiné le milieu des vendeurs de disques lors de l’arrivée des FNAC.

Amazon ne m’intéresse pas. C’est l’impatience de la clientèle qui le fait grossir, cette volonté de posséder au plus vite l’objet. Enfin je possède en moins de 48 h !

C’est cette impatience qu’il va falloir calmer, cette même impatience de consommation qui nous prend pour des cons en nous disant qu’en pleine épidémie, alors que tout le monde doit supporter une situation complexe et dangereuse, il faudrait que nous soyons ouverts parce que le lecteur est un enfant capricieux qui supporte mal qu’on lui refuse un poney à Noël.

Tu vas attendre. Et ce sera agréable de se revoir à la librairie. Parce que tu auras vraiment envie. Moi aussi. Et nous prendrons notre temps."

Rodolphe Urbs,
Librairie/Galerie La mauvaise réputation

lundi 30 mars 2020

grâce à Lune Vuillemin

J'ai lu "Croc fendu" de Tanya Tagaq, Christian Bourgois Editeur et je suis secouée. 
Je laisse Lune Vuillemin vous en dire davantage ..."Lire Croc Fendu c’est laisser de côté ce que l’on pense et ce que l’ont croit. Une lecture corporelle et physique. L’écriture de Tagaq nous avale et se gargarise de nos certitudes, suce notre scepticisme et déglutit nos doutes pour les faire fondre sous le soleil polaire."
https://parlezmoidelivres.wordpress.com/2020/03/25/croc-fendu-¤-tanya-tagaq/
Et puis abonnez-vous à ce blog de lecture !

mini notes



"Crazy Brave" de Joy Harjo, Globe éditions, nous met en pleine face la vie des amérindiennes et de leurs hommes et si nous détournons parfois la tête, elle vient nous tirer par la manche : éprouvant et salvateur !
Respirer avec "Sois sage, ô mon bagage" d'Hélène Honnorat, éditions Yovana, les bagages des grands de la littérature (du XVIIIe à aujourd'hui), des grandes voyageuses et des explorateurs jusqu'aux graves bagages de l'exil : un voyage !

Notes de lecture






Paru en 1930, "Notre lâcheté" de Alain Berthier, réédité en 2020 par le dilettante, est un texte très noir et cependant une pépite ! Il est rare de pénétrer aussi profondément et sans pathos dans une relation de couple toxique au plus haut point (des deux côtés !). C'est presque "anatomique " ; le psychisme est découpé au scalpel est c'est très très bien écrit.
"404" de Sabri Louatah, Flammarion/Versilio : 2022, les détournements internet mettent la démocratie en péril (la présidente est par ailleurs une de ces racistes qui savent édulcorer leurs propos), la 4e génération des "Arabes" de France tente de s'imposer, le communautarisme est questionné, qui manipule qui ?... une écriture vive et dynamique : chacun poursuivra la réflexion !
"Les prisonniers de la liberté" de Luca Di Fulvio, Slatkine & cie. 1912, deux femmes et un homme fuient une vie de cauchemar pour Buenos Aires qui devient un nouvel enfer.
Des lectrices de la librairie m'avaient vivement encouragée à lire Di Fulvio. J'ai fermé le pavé de 650 pages bien avant la fin ! C'est sordide et l'écriture m'a ennuyée. Point. Alors, lisons "Le gang des rêves"de Di Fulvio qui a tant marqué les lectrices de Libellis !

lundi 23 mars 2020

petites notes de lecture

"Ne plus se mentir" de Jean-Marc Gancille, Rue de l'échiquier, Michel Sanche me l'avait dit, c'est LE livre à lire sur l'état de notre monde d'humains pour qui les alternatives se réduisent et bon sang, c'est un texte qui dit non plus l'espoir mais le courage ! Allégeons-nous, affranchissons-nous, radicalisons-nous, relions-nous, biocentrons-nous, aimons-nous....
 

"Sans foi ni loi" de Marion Brunet, PKJ, ou le western d'une femme libre avec qui je retrouve l'écriture dans le mille de "Frangine".
 

"De pierre et d'os" de Bérengère Cournut, Le Tripode, m'a emportée très loin, sur des terres inconnues, encore plus loin dans les profondeurs humaines. Marquant.
 

Et le petit carnet d'écriture des éditions Verdier, devenu carnet de notes de lecture. On se continue.

dimanche 22 mars 2020

Pieter Dijkstra nous offre un retour à Quirbajou

L'orchestration de ce Printemps avant la lettre, de cette balade poétique, on les doit à Stéphane Warot, ancien libraire et jadis directeur du festival "Le jardin dans tous ses états" à Assier dans le Lot (46). Chaleureusement encouragé par sa compagne Françoise Bellis.


 Valérie Schlée, lectrice à haute voix et poétesse, accompagnée par Franck Gauthier, multi-instrumentiste, souffleur, percussionniste et guitariste



Jean-Jacques Delpoux nous a tenu en haleine avec des histoires passionnantes et passionnées d'hommes, de femmes et de bêtes, des histoires de la campagne, avec des bergers, des loups, des fermes, des colporteurs, des fêtes, la neige, la mort et l'amour.
 










 Puis, cette année c'était quelques filles et femmes de Quirbajou qui se sont prêtées à des déclamations, des lectures et des chansons, d'auteurs ou de leurs propres inspirations. Douceur, joie et partage étaient au rendez-vous !!!



 
On y trouve également une partie de la poésie de Stéphane Warot, sous forme de boules et un serpent réalisées en branches de buisson noir, avec lesquelles il nous démontre que douceur et piquant(s) peuvent se confondre dans une même oeuvre, voir dans un même être ...
 










La Bergère Sarah, lectrice
 Le soir nous n'avons pas pu renter pour festoyer cette belle journée, pour des raisons sanitaires, nous nous sommes donc rattrapés en faisant un petit buffet dehors autour d'un brasero, en musique et sagement arrosé avec un rouge du pays ! Du bonheur encore !


 

mercredi 11 mars 2020

Après le chemin poétique du 14 à Quirbajou, rendez-vous à Lagrasse !

 » PRINTEMPS DES POÈTES » 2020

DIMANCHE 22 MARS À 16 H,

SALLE DES ASSOCIATIONS, ancienne mairie, 

place de la Halle, LAGRASSE (11220)

VALÉRIE SCHLÉE LIT SES POÈMES

Valérie Schlée travaille en binôme avec peintres et musiciens, donne des lectures publiques. Elle vit à Gruissan dans l’Aude et travaille à la librairie Libellis de Narbonne. Elle publie des recueils de poèmes et collabore à des revues littéraires : Brèves, Apulée.
La poésie qu’écrit Valérie Schlée, raconte des histoires. La Vie est une chienne noire est celle d’un frère et d’une sœur, de leur langue commune arrachée au corps, de leur rapport au désir. Cette langue étrangère et intime fait état d’une sorte de scène primitive : celle dont chacun a pu faire l’expérience en tuant un animal, aussi petit soit-il, par peur le plus souvent. Dans la proximité palpable des bêtes et de la nature, on franchit avec eux les lieux d’éclosion, les espaces de destruction, le rapport à la vie à la mort, et puis l’amour encore et toujours à nommer.



À propos de La Vie est une chienne noire :
 » Ce livre en mains, malgré sa modeste et mince apparence, on ne doutera pas qu’il s’agisse-là d’une rareté. D’abord parce que pour y pénétrer il faudra retrouver des gestes anciens et trop oubliés d’ouvertures. Il faudra en effet, couper, séparer, inciser, pour entrer dans le vif, une belle définition, en somme, de la poésie.
Car c’est bien à cela que nous convie Valérie Schlée. La vie est certainement ce que l’on veut qu’elle soit et, qui de nous n’a jamais dit, hurlé, murmuré au moins une fois, “chienne de vie !!”, façon de nommer, vaine conjuration, la mort imprévue, la maladie, le désamour, l’injustice, l’échec ; en bref, la vie comme elle est ou comme elle se découvre à un moment ou un autre, animale et sombre.
Aussi cette soixantaine de pages assumera le poids de son ambition, celle de dire les destins séparés, avec leurs fulgurances et blessures, en un seul récit. Long poème dont le rythme, la rigueur des mots et de la versification, servent des vérités toujours brûlantes, osant les risques de l’insondable déchirement, ou ceux de la traque du secret intime jusqu’à cette vérité des livres sous les taies d’oreiller de l’enfance.
C’est un récit, c’est une histoire ; il y a une narratrice, un frère, une mère, des enfants, des chiens, du ciel, de la nature. On y parle de la mort et de ce qui retient la vie, de ce qui fait l’espoir, ce soleil qui arrive et qui va déborder et de qui l’aura nié. Valérie Schlée nous donne ainsi à voir des moments de vie dans une écriture digne, qui ne cherche ni l’exemplarité ni la compassion. La première intuition était la bonne, c’est là un texte rare, et un grand texte. »
Daniel Bégard, Olé Magazine culturel, 4 février 2015


Petite bibliographie :
La Vie est une chienne noire, éd. Dumerchez, 2015 (poésie).
Exercice de solitude, éd. Rencontres, 2011.
Le Silence en soi un galet, suivi de Un homme sort de terre, éd. Potentille, 2008.
Quelqu’un respire derrière moi,  éd. Le suc & l’absinthe, 2007 (livre d’artiste).
Il faudrait se quitter tous les jours, éd. Gros texte, 2007.
Un objet silencieux, coauteur Edith Azam, éd. Le suc & l’absinthe, 2006, rééd. Gros texte, 2008 


https://www.luciole-universite.fr/programme-2020/

lundi 2 mars 2020

Quelque chose de la poussière

Enfin une écriture neuve, des phrases comme une respiration qui se cherche, s'impose pour dire ce qui sourd de l'intime ou se heurte à la rencontre ou se frotte à la nature omniprésente, fascinante. 

Une histoire sauvage à deux voix de femmes qui palpite longtemps après qu'on a refermé le livre (ce si bel objet du Chemin de fer !). 

Livre qu'on rouvre souvent pour les peintures étranges et lumineuses de Benjamin Défossez, qui continuent de parler aux phrases de Lune Vuillemin, qui elles-mêmes poursuivent leur ligne de creusement en nous. 

Merci au Chemin de fer d'oser de tels choix et qui nous offre là une pépite à garder dans le creux de la main, au fond de sa poche et résolument en plein cœur. 

Une absolue écriture sauvage et puissante.




jeudi 27 février 2020

Nous, avec le poème comme seul courage (Castor Astral)


Oh ! là-bas...
C'est Albert Giacometti, assis tout seul au fond du café !
Il pense à la fragilité des gens
et à l'énergie qu'il leur faut pour se tenir droit.
Il voudrait vider son œil de ce qui lui pèse
et le vôtre de tout ce qui l'accable.
L'homme debout n'est que
celui qui s'est relevé.
Eric Sarner
 
 

mardi 25 février 2020

A Quirbajou le 14 mars, je lirai ma poésie et celle des poètes qui me font vivre, en complicité avec Steve Robins et en écho avec Jean-Jacques Delpoux





Bonjour à tous et à toutes,
 

Le Printemps des Poètes à Quirbajou vous attend cette année 

le samedi 14 mars à 15h, devant la Maison Jaune pour  
une sacrée balade électropoétique (moyenne tension) aux alentours du village. Gratuite, la balade! Poètes et berger.e.s, enfants et ados, brebis et chèvres, musiciens et amateurs, voisins et curieux, chasseurs et chevreuils, pros et contre, bref quasi tout le monde est invité à serpenter avec nous, Valérie, Steve, Jean-Jacques, Gérard et Stéphane. 

Il y aura un buffet (payant celui-ci) vers 19h pour ceux qui restent pour le soirée car 

à 20h30: soirée poésie à la Maison Jaune autour de Valérie Schlée et Steve Robins, entrée gratuite, participation libre, librairie ouverte, collation/ discussions à l'issue de la soirée.


Le Printemps des poètes marque en effet une étape culturelle importante pour notre village et pour la Haute-Vallée. Cette manifestation creuse son sillon depuis 2015 en dehors des sentiers battus et se doit chaque année de renouveler son originalité dans sa forme et son contenu. Si le principe d'une ballade poétique est maintenu, nous avons choisi cette année de regrouper balade et soirée en une seule journée, le samedi 14 mars (veille des élections municipales), de façon à limiter la circulation et les déplacements des participants et du public. Le thème (thème à l'échelle nationale) est cette année le "courage" et c'est vrai qu'il en faut!

Portée par Accueil Paysan Aude-PO, soutenu par le CNL, ce Printemps avant la lettre propose cette année un choix très éclectique d'intervenants, choisis au gré de rencontres récentes dans notre département: Valérie Schlée, lectrice à voix haute mais aussi poétesse et Jean-Jacques Delpoux, "conteur agricole" d'histoires magnifiques, et de complicités plus anciennes: Steve Robins, musicien multi-instrumentiste, chanteur et improvisateur et mon ami Gérard Clémenceau de Paris avec qui j'essaye de construire l'événement.

Mais il y aura aussi, vous tous qui l'an passé avez proposé plein d'interventions joyeuses ou profondes, tendres ou charmantes au cours de la balade et peut-être en plus grand nombre encore cette année, nous l'espérons, afin que la place des amateurs, des créatifs, des "inspirés" soit la plus large possible au cours de ce parcours poétique et électrique à la fois, vous verrez pourquoi.... reflétant toute la diversité et la richesse de notre village.

Merci de venir nombreux, que vous participiez ou non. Venez  découvrir les talents cachés, les timides audacieux, les poètes malgré eux, les musiques insoupçonnées, notre campagne remodelée et aussi Valérie, Steve et Jean-Jacques qui mettrons leur grand professionnalisme au service de l'événement.

A samedi 14!
Stéphane

dimanche 23 février 2020

le courage disent-ils

On se demandait, que nous veulent-ils avec ce thème du courage ? Nous n'avons de liens avec le courage que ceux de tous les poètes et de tous les humains au quotidien. Ainsi nous savons bien que les anthologies rassemblent des textes de poètes qui n'ont pas écrit que sur la thématique choisie. Nous ne sommes pas des 'spécialistes' en courage ou beauté ou ardeur. 
En revanche, nous prenons le temps chaque année depuis tant de temps, de créer des lectures, avec ou sans musicien, parfois avec des peintres en performance, sur des thèmes ou des rapprochements de poètes. 
Quant au courage d'écrire... 
Alors voilà : on sait maintenant, Le Castor Astral les a rassemblés, les vivants et les morts, les jeunes et les vieux, ceux de toutes langues inventées, criées, soufflées, dites haut ! 
 C'est un livre pour toute la vie, pour entendre, ne plus avoir peur, continuer encore, voir plus loin, se laisser surprendre, se reconnaître ! Être ensemble, en poésie.
Je serai à Quirbajou le 14 mars, à Lagrasse le 22 mars...

https://www.castorastral.com/livre/nous-avec-le-poeme-comme-seul-courage/ 

dimanche 9 février 2020

un voyage

Un voyage visuel, sensoriel et des textes d'une grande finesse
c'est à la médiathèque du Grand Narbonne
c'est dans le livre à la librairie Libellis

Une rencontre avec l'artiste Jean-Marc Barrier
pour un atelier d'écriture au mois de mars à Narbonne


www.jm-barrier.com




samedi 25 janvier 2020

Une merveille





Mains d’herbes
Histoire d’un jardin japonais
Benoît Reiss
Esperluète éditions

Cela frissonne et tremble de mouvements vifs et alanguis : le jardin dans l’un de ses instants de déséquilibre, de bascule, est un jardin vivant, celui de Madame Oda. Elle parle avec des gestes de papillons apprivoisés : « un jardin est un endroit parfait pour une rencontre ». Il y a les chats depuis le temps du temple Ryoan-ji, le velours de la nuit rendue à son obscurité, être au jardin les yeux fermés, une vision de la lumière d’un feu dans la nuit pour dire l’art et les artistes. 

Délicatesse, vivacité et souplesse, 
herbes folles et sauvages, vin d’or, 
pour une lecture qui pose et élève de même.

https://www.esperluete.be/index.php/catalogue-2/collection/litt%C3%A9rature/mains-dherbes,-histoires-dun-jardin-japonais-detail

mercredi 15 janvier 2020

des livres et des lectures à voix haute

C'est parti !
Je serai présente pour cette nuit de la lecture, 

pour la librairie Libellis 
et pour un bout de lecture de 
"Je voudrais pas crever" 
d'un Boris Vian à l'honneur. 
Bienvenue à vous !

 
Médiathèque Municipale de Gruissan
Avenue Joseph Camp
11430 GRUISSAN
mediatheque@ville-gruissan.fr
Tél. : 04.68.75.21.30

mardi 14 janvier 2020

2020 commence bien

La librairie, c'est aujourd'hui !
Les amis, les fidèles, lecteurs, lectrices,
les nouveaux, les curieuses,
2020 commence bien !

Je vous accueille dès aujourd'hui
et pour toute la belle année 
à la librairie LIBELLIS
43 rue droite, la jolie rue piétonne à Narbonne.

Contente tellement de partager
cette aventure avec vous !

Venez ! La lumière est belle, la mer à deux pas,
les livres formidablement bien choisis
par le libraire Michel Sanche.

Aiguisons notre regard
poétisons le monde
nourrissons nos réflexions
retrouvons-nous chez LIBELLIS ! 

04 68 43 21 39
libellis@orange.fr